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Bienvenue sur Collec'Hebdo 43

Le blog qui accueillait jusqu'ici Collec'Hebdo 43 est arrivé à saturation. Aussi ai-je réactivé ce blog en sommeil le 08 février 2008 pour qu'il prenne le relais. Vous retrouverez ici la suite des analyses hebdomadaire des nouveautés entrant dans ma collection de voitures miniatures au 1/43ème.

Par contre vous pouvez toujours consulter les numéros antérieurs sur les différents blogs utilisés jusqu'à présent, tant qu'Over-blog accepte de les conserver.

Bonne lecture et merci d'être fidèle à Collec'Hebdo 43.

N'hésitez pas à  le faire connaître autour de vous.

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6 août 2011 6 06 /08 /août /2011 11:30
2010-02 transit CH43
 
 n° 313 du 08 août 2011
 

 SCOOP DE DERNIERE HEURE

 

Il semblerait que le 23 août 2011 une nouvelle collection dédiée aux voitures d'endurance soit lancée. Et non celle relative aux métiers d'autrefois comme on pouvait le croire. Mais ce ne devrait être que partie remise.

 
 
 Modèles presse - collections italiennes

FIAT-ABARTH 1000 Berlina Corsa de 1963

Metro/Hachette – collection Abarth, n° 27
4302GR F-Abarth 1000 blanch
 Signée Metro, cette représentation de la 1000 Berlina Corsa fait appel à un moule que je considère comme le plus réussi de tous ceux que je connaisse de la petite Fiat 600. Celui-ci représente la carrosserie à portes « suicides » s’ouvrant vers l’arrière. Lignes, volumes et coloris sont très bien restitués, même, si, sur cette version à capot moteur fermé, cet élément rapporté laisse des jours. De fins essuie-glaces sont placés sur le pare-brise. Le motif décorant le panneau avant est une pièce rapportée chromée. Les feux avant sont eux aussi rapportés. Le pare-chocs est correctement doté de butoirs.  Le dessin des jantes est fidèle et les roues de bon diamètre et largeur.  Les rares chromes courant sur la carrosserie sont soulignés par un trait de peinture alu. Les petits feux arrière sont hyperréalistes avec leur deux coloris et leur entourage chromé. Le capot reçoit le monogramme que l’on retrouve aussi sur les ailes avant. Une belle double sortie d’échappement émerge sous le pare-chocs. A l’intérieur, le petit mobilier est fraise avec un volant à deux branches ivoire. Tout comme la planche de bord qui accueille un beau tableau de bord bien détaillé. Il en va de même pour le soubassement travaillé.
2011 4 etoiles
 

FIAT-ABARTH 850TC de 1965

Metro/Hachette – collection Abarth, n° 54
4304GR F-Abarth 850TC blanc
 Signée Metro, cette représentation de la 850 TC fait appel, elle aussi,  à un moule que je considère comme le plus réussi de tous ceux que je connaisse de la petite Fiat 600. Pourtant,  celui-ci diffère de celui de la 1000 Berlina Corsa par le fait que nous sommes en présence d’un modèle plus récent, dont les portières s’ouvrent dans le bon sens. A noter que sur cet autre moule la lunette arrière est un peu plus étroite que sur celui à portes « suicide ».Lignes, volumes et coloris sont très bien restitués. Sur cette version à capot moteur relevé, il est possible de voir une reproduction en volume du moteur et de ses accessoires. De fins essuie-glaces jumelés sont placés sur le pare-brise. Le motif décorant le panneau avant est une pièce rapportée chromée. Les feux avant sont eux aussi rapportés. Le pare-chocs est ici remplacé par un coffrage abritant le radiateur d’huile.  Le dessin des jantes est fidèle et les roues de bon diamètre et largeur.  Les rares chromes courant sur la carrosserie sont soulignés par un trait de peinture alu. Les petits feux arrière sont hyperréalistes avec leur deux coloris et leur entourage chromé. Le capot reçoit le monogramme que l’on retrouve aussi sur les ailes avant. Par contre, il a perdu le système d’éclairage de l’immatriculation arrière. Une belle simple sortie d’échappement émerge sous le pare-chocs. A l’intérieur, le petit mobilier est fraise – sauf pour le siège du conducteur, noir - avec un volant sport à trois branches noir. La planche de bord accueille un beau tableau de bord bien détaillé. Il en va de même pour le soubassement travaillé.
2011 4 etoiles
 

ABARTH 1000 TCR Berlina de 1968

Metro/Hachette – collection Abarth, n° 50
4295GR F-Abarth 1000 Berlin
 Signée Metro, cette représentation de la 1000 TCR Berlina fait appel, elle aussi, au moule à portières ouvrant dans le bon sens et à la lunette arrière plus étroite que sur celui à portes « suicide ». Lignes, volumes et coloris sont très bien restitués. Sur cette nouvelle version à capot moteur relevé, il est possible de voir une reproduction en volume du moteur et de ses accessoires. De fins essuie-glaces jumelés sont placés sur le pare-brise. Le motif décorant le panneau avant est une pièce rapportée chromée. Les feux avant sont eux aussi rapportés. Le pare-chocs est ici remplacé par un coffrage abritant le radiateur d’huile, plus important que celui équipant la 850 TC et débordant sur les côtés. Il affiche, côté droit le monogramme « FIAT ABARTH 1000, Groupe 2 1970 » alors que portières et pavillon affichent le monogramme « FIAT ABARTH » en blanc sur fond rouge. Le dessin des jantes est fidèle et les roues de bon diamètre et largeur.  Les rares chromes courant sur la carrosserie sont soulignés par un trait de peinture alu. Les petits feux arrière sont hyperréalistes avec leur deux coloris et leur entourage chromé. Le capot moteur a perdu le système d’éclairage de l’immatriculation arrière. Une belle simple sortie d’échappement émerge sous le pare-chocs. A l’intérieur, le petit mobilier est, noir - avec un volant sport à trois branches noir. Les contreportes sont couleur framboise. La banquette arrière a été supprimée et un arceau de sécurité a été installé. La planche de bord accueille un beau tableau de bord bien détaillé. Il en va de même pour le soubassement travaillé.
2011 4 etoiles
 

ABARTH 1300 OT Periscopio de 1967

Metro/Hachette – collection Abarth, n° 31
4303GR Abarth OT1300 Perisc
 Signée Métro, cette berlinette 1300 OT, doit son surnom « periscopio » (ou périscope, en français) à la présence d’une prise d’air verticale traversant son pavillon. Lignes, volumes et coloris sont au rendez-vous et jouissent d’une gravure et d’une finition correctes. Si l’essuie-glace à pantographe est un peu massif, ses phares sont représentés sous bulle plastique. La prise d’air avant laisse voir le radiateur d’huile. Les vitrages latéraux en plexi sont bien découpés et celui de gauche représenté volet ouvert. Les roues sont de bonnes dimensions et dotées de jantes au dessin assez fidèle.  Les feux arrière, en plastique et rapportés sont circulaires et correctement colorés. On aperçoit l’ébauche du moteur au travers de l’ouverture arrière. Une belle et grosse sortie d’échappement accompagne un carter moteur alu arborant le monogramme ABARTH écrit dessus en rouge. La lunette arrière, verticale, est complétée par une bulle aérodynamique qui coiffe le capot moteur. Le mobilier de l’habitacle est entièrement noir et bien détaillé. Le soubassement l’est un peu moins.
2011 4 etoiles
 

ABARTH 1300 OTC Lufthansa de 1964

Metro/Hachette – collection Abarth, n° 30
4294GR F-A 1000 Luftansa
 Signée Métro, cette berlinette 1300 OTC présente des lignes et volumes la faisant ressembler à une grenouille. Pourtant ceux-ci sont fidèles, tout comme sa livrée rouge. A cela il convient d’ajouter une gravure et une finition d’honnêtes factures. Si l’essuie-glace à pantographe gagnerait à être plus fin, ses phares sont représentés sous bulle plastique. La forme souriante de sa prise d’air accentue la ressemblance évoquée plus avant.  Le dessin des jantes est fidèle et les roues de bon diamètre et largeur.  Les vitrages latéraux sont bien découpés et celui de gauche représenté ouvert. Les grilles des prises et sorties d’air sont représentées.  A l’arrière, les feux circulaires sont rapportés en plastique, et uniquement rouges.  La sortie d’échappement est évasée comme un tromblon. Mais ce qui fait l’intérêt de ce modèle, c’est la représentation de ce qui est visible au travers de ses vitrages. On peut y voir l’intérieur de sa structure métallique avec ses pontons latéraux et l’arceau de sécurité noir derrière les deux petits baquets. Il y a aussi un joli tableau de bord derrière le volant sport à trois branches. Notez la position décalée vers la droite du rétroviseur intérieur. De plus la lunette arrière permet de voir une assez belle ébauche du dessus du moteur et de ses accessoires. Le soubassement est un peu détaillé au niveau des trains roulants.
2011 4 etoiles
 
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30 décembre 2009 3 30 /12 /décembre /2009 09:00
 

n° 230 du 04 janvier 2010 - page 2/2

 

Modèles presse de collections étrangères

LANCIA Fulvia Sport 1.3 S de 1968

Starline Models - Story collection Lancia, n° 15

Badgé Starline models, ce coupé Fulvia fait rapidement oublier celui produit en son temps par Corgi-toys mais qui présente toujours l’intérêt de proposer des ouvrants, notamment le capot moteur s’ouvrant latéralement de la gauche vers la droite. Ce modèle s’avère fort plaisant avec des lignes, volumes, coloris, gravure et finition très acceptables. L’avant est fort honnête malgré des optiques « étranges ».  Les roues sont correctes et le Z de Zagato présent sur les côtés. L’arrière est soigné avec des feux plastique bien colorés, la présence des monogrammes, une sortie d’échappement creusée et « chromée », sans oublier le feu de recul sous le demi pare-chocs arrière droit. L’habitacle, tout en noir, reçoit quand même une planche de bord colorée en faux bois. Le soubassement n’est pas détaillé.

 

LANCIA Flaminia de 1957

Norev – Story collection Lancia, n° 24

Badgée Norev, cette Flaminia n’est pas sans rappeler celle produite en son temps en plastique par Norev et, plus tard, en métal par Eligor. Pourtant le moule est différent et nous restitue d’assez bonne façon les lignes et volumes de l’original dans une livrée bleu foncé desservie par des « chromes » épais et ternes. Dommage que cette berline et la limousine cabriolet (n° 12 de cette même collection) n’aient été réalisées par le même réducteur. Cela aurait éviter les différences de gabarit qu’il est permis de constater lorsqu’on les place côte à côte. Ceci étant, l’avant bénéficie d’une calandre à l’écusson Lancia reproduit et aux optiques correctes. Latéralement, outre les « chromes » tristes, les roues sont correctes. L’arrière est soigné avec de jolis feux plastique bien colorés, le monogramme Flaminia et un pare-chocs arrière bien travaillé. L’habitacle est entièrement noir alors que le soubassement, peu détaillé, reçoit une sortie d’échappement « chromée ».

 

LANCIA Beta Trevi VX de 1982

Norev – Story collection Lancia, n° 32

Badgée Norev, cette Trevi VX présente bien dans sa livrée gris souris les lignes et volumes caractéristiques de ce modèle. Gravure et finition complètent le tableau, assez réussi.  L’avant est soigné avec cette calandre plate et des optiques étirées. L’écusson Lancia est présent. De côté le profil est gâché par la reproduction du jonc chromé qui encadre la vitre arrière. Ça partait d’une bonne intention, mais réduit inutilement la surface vitrée d’autant que celui des vitres avant n’est pas reproduit. Le dessin des jantes est faux car il manque le disque central derrière les « faux » rayons. Par contre reproduction correcte des poignées de portière. L’arrière reçoit monogrammes, écusson et feux plastique bien colorés. L’habitacle reçoit un intérieur entièrement noir alors que le soubassement est un peu détaillé. Sortie d’échappement noire.

 
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23 décembre 2009 3 23 /12 /décembre /2009 09:00
 

n° 229 du 28 décembre 2009 - page 2/2

 

Modèles presse collections étrangères

LANCIA Appia GTE Zagato de 1959

Norev – Story collection Lancia, n° 09

Badgé Norev, ce coupé Zagato surprend par son étroitesse. Pourtant, vérification faite, sa largeur correspond bien aux 1.42 m de large de l’original. Ceci étant vérifié, lignes et volumes sont réalistes et reflètent bien le dessin de Zagato, notamment au niveau des pieds de custode. Toutefois les clignotants avant, rectangulaires sont reproduits par des clignotants carrés.Il manque les répétiteurs de clignotants sur les ailes avant alors que le Z de Zagato y est bien présent. Les roues sont honnêtes. Alors qu’à l’avant le monogramme Zagato surplombe la calandre, l’arrière n’accueille qu’immatriculation et feux arrière entièrement rouges.  L’intérieur, noir, laisse deviner une planche de bord faux bois. Le soubassement est peu détaillé avec une sortie d’échappement « chromée ». 

 

LANCIA K coupé de 1998

Norev – Story collection Lancia, n° 11

Badgé Norev, ce coupé K surprend par sa largeur importante. Pourtant, vérification faite, elle correspond bien aux 1.83 m de large de l’original. Ceci étant vérifié, lignes et volumes sont réalistes et reflètent bien le style du vrai, dans une finition légère. Pourtant la gravure se révèle correcte et le traitement de l’avant fort acceptable avec sa mini calandre  et ses optiques étirées. Les roues ont un dessin correct et le cartouche Lancia K est bien présent sous le répétiteur latéral des clignotants. L’arrière arbore le logo Lancia au-dessus de l’immatriculation, encadrée de feux arrière uniquement rouges. L’intérieur est uniformément noir alors que le soubassement est peu détaillé. 

 

LANCIA Flaminia Présidentielle de1961

Starline Models - Story collection Lancia, n° 12

Badgée Starline models, cette limousine cabriolet séduit l’œil par ses dimensions et sa finition. Lignes, volumes et coloris sont au rendez-vous et jouissent  d’une gravure assez fine. L’avant est correct mais il est dommage que le gros écusson Lancia soit vierge de toute reproduction.  Le profil est soigné mais comporte une erreur de placement du jonc chromé reliant les passages de roues. Il aurait du se trouver juste sous les portières, non en bas de caisse. Les marques de Pinin Farina sont présentes et les enjoliveurs de roues frappés de la marque Lancia. A l’arrière, les feux – métalliques- sont bien colorés et surplombent deux sorties d’échappement « chromées » et creuses. L’immatriculation « Roma 454308 » indique que l’on est en présence du premier modèle, baptisé Belfiore. L’habitacle demande un peu d’attention. Si le compartiment conducteur est peu visible car entièrement fermé, la partie passagers est ouverte. Elle permet de constater l’absence des deux strapontins qui ne sont reproduits que repliés dans le plancher. Nombreuses touches chromées sur les contreportes et la paroi de séparation. Le soubassement est peu détaillé.

 
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12 novembre 2009 4 12 /11 /novembre /2009 14:16
 

n° 223 du 16 novembre 2009 - page 3/3

 

Modèle(s) presse provenant de collections étrangères

FIAT 500 Jully

Universal Hobbies – collection italienne 500 Story, n° 14

Badgée Universal Hobbies, cette 500 de plage  reprend les codes de la 600 Jully que les collectionneurs presse connaissent depuis longtemps pour avoir été le n° 42 de la collection Taxis du monde (Capri) et réalisée par Ixo.  Lignes, volumes, coloris et présentation sont au rendez-vous-même si les différentes barres de maintien et de renfort sont de gros diamètre. Il s’agit d’un des tout premiers modèles reconnaissable à ses ouïes d’aération sous les phares et les clignotants sur les côtés. L’ensemble est plaisant et restitue assez bien l’idée de farniente.  L’habitacle est soigné avec une bonne reproduction des commandes. Le soubassement est bien moulé, notamment à l’arrière. 

 

SEAT 124 L de 1969

Ixo  – collection espagnole Seat, n° 01 
 

Bien que non badgée, cette Seat 124 est d’origine Ixo. Lignes, volumes, coloris et présentation sont réussis. L’ensemble est très réaliste et bénéficie d’une gravure qui concoure à cette réussite. L’avant reçoit une calandre bien ouvragée et encadrée par des optiques de bon diamètre alors que les clignotants, en relief, ne sont que peints en blanc. Essuie-glaces corrects. Les roues sont bien dessinées et les profils reçoivent de fins traits alu pour représenter les rares chromes qui habillent ce modèle. A l’arrière les sont en plastique, bien colorés et rapportés. Les monogrammes sont présents à droite de l’immatriculation. L’habitacle a fait l’objet d’un soin particulier puisqu’au noir du plancher et de la plage arrière s’ajoutent l’ocre des sièges et des contreportes, mais aussi le marron du faux bois pour la planche de bord. Le tout est bien gravé, tout comme le dessous de la voiture. 

 

SEAT 850

Norev – test (non concluant) pour une collection espagnole  Coches de una generacion
 

Badgée Norev, cette Seat 850 nous proposent une belle reproduction des lignes, volumes et présentation de la vraie dans une livrée crème. La finition est simple mais correcte avec la fausse calandre sur l’avant, avec le logo Seat en son centre. Pour ne pas être choqué par l’entourage noir des vitres latérales il faut les regarder bien perpendiculairement. Les roues sont correctes. Les feux arrières sont bien ronds mais uniquement rouges. Les petites grilles d’aération du moteur sont juste dessinées. Le pavillon et les portières arborent une publicité pour le parti de l’Union du Centre Démocrate espagnol. L’habitacle reçoit un mobilier noir correct alors que le soubassement est légèrement gravé avec un pot de détente et une sortie d’échappement chromée.

 
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4 novembre 2009 3 04 /11 /novembre /2009 09:09
 

n° 222 du 09 novembre 2009 - page 2/2

 

Spécial collection japonaise d' Hachette et Norev

 

HONDA N360 de 1967

Norev – collection Voitures japonaises, n° ??

Badgée Norev, cette N360 ne bénéficie pas du niveau de finition des deux autres modèles issus de cette même collection, à croire que leurs fabricants sont différents. En effet, si les lignes, volumes et coloris sont acceptables, la gravure, mais surtout la finition, sont en recul puisqu’ici les chromes ne sont que peints. A l’avant la grande calandre est pourtant bien dessinée et reçoit d’honnêtes optiques principales alors que les clignotants, oranges, sont métalliques et solidaires du pare-chocs. Les (trop) petites roues semblent perdues dans leurs logements. L’arrière tourmenté est bien restitué malgré ses feux métalliques. A noter que l’extrémité des ressorts à lames débordent bien de la carrosserie, comme sur la vraie et que la sortie d’échappement est bien creusée. Bien qu’entièrement noir, le mobilier de l’habitacle est bien gravé, ainsi que le soubassement.

 

ISUZU 117 coupé de 1968

Norev – collection Voitures japonaises, n° ??
 

Badgé Norev, ce coupé 117 nous propose des lignes, volumes et coloris de bonne facture tout en bénéficiant d’une gravure assez fine et d’une finition soignée, grâce notamment à la présence de « vrais chromes » là où il y en a sur le vrai. Toutefois, si la calandre est acceptable les optiques principales et les clignotants avant sont un peu simplistes. Le profil ne souffre pas trop de la présence des chromes qui entourent les surfaces vitrées grâce à un ajustement quasi parfait des composants de cette miniature. Les poignées de portières sont chromées et rapportées. Les roues sont correctes. A l’arrière nous avons même droit à des feux rapportés en plastique tricolore malgré leur petite taille. Il ne manque que le monogramme latéral au bas des ailes avant. Bien qu’entièrement noir, le mobilier de l’habitacle est bien gravé, tout comme le soubassement. 

 
 

NISSAN Sunny coupé 1200 GX de 1970

Norev – collection Voitures japonaises d’antan, n° ?? 
 

Badgé Norev ce coupé Sunny nous propose, lui aussi,  des lignes, volumes et coloris de bonne facture tout en bénéficiant d’une gravure assez fine et d’une finition soignée, grâce notamment à la présence de « vrais chromes » là où il y en a sur le vrai. A l’avant la calandre horizontale jouit d’une belle gravure  et d’une bonne présentation avec logo et monogramme. Les optiques principales et les clignotants sont des pièces rapportées en plastique. Dommage que les supports des rétroviseurs d’aile, très japonais, soient si démesurés. En plus des poignées de portières, les grilles d’aération sont elles aussi rapportées et chromées alors que les roues de (trop) petit diamètre nagent dans leurs passages. Notons la présence du monogramme Sunny 1200 GX à l’extrémité des ailes arrière. Arrière où nous retrouvons des feux métalliques  bien colorés encadrant le motif ornant le panneau central. Bien qu’entièrement noir, le mobilier de l’habitacle est bien gravé. Seules touches de couleurs, le tableau de bord, le cercle du volant « bois » et le pommeau du levier de vitesse.  Le soubassement est un peu gravé avec une sortie d’échappement alu creusée.

 
 
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22 octobre 2009 4 22 /10 /octobre /2009 09:41

n° 220 du 26 octobre 2009 - page 2/2

Spéciale collection italienne ABARTH

Je reprends ici l'analyse des premiers numéros des collections italiennes diffusées par HACHETTE

 

ABARTH 1000 Bialbero de 1963

Metro – collection italienne consacrée à ABARTH, n° 01

 Badgée Metro, cette barquette 1000 Bialbero séduit par le respect des lignes, volumes et coloris de la vraie et bénéficie d’une finition correcte. A l’avant le capot comporte les bulles de protection des phares et reçoit l’écusson dela marque et le monogramme du modèle que l’on retrouve également sur les ailes arrière. Le profil comporte aussi, outre les poignées de portière, les poignées de fermeture du capot avant. Les roues sont bien dessinées. A l’arrière l’ouverture  laisse deviner le moteur alors que de petits feux en plastique bien colorés en pris place sur le panneau arrière. Peu discrète sortie d’échappement blanche.  Le minuscule habitacle reçoit un mobilier bien gravé noir. Seuls les cadrans du tableau de bord, les branches du volant et le levier du frein à main y apportent une touche argentée. Le soubassement est gravé.

 
 
 AUTOBIANCHI A112 ABARTH 70HP de 1975
Metro – collection italienne consacrée à ABARTH, n° 02

 Badgée Metro, cette A112 surprend par son réalisme et rappelle celle badgée Grani & Partners pour le compte des EDISON GIOCATTOLI. Pourtant il ne s’agit ni du même moule, ni du même millésime, reconnaissable notamment par le dessin des feux arrière. Celle de G&P est un modèle 1974 alors que celui est un modèle 1975. La gravure est plus fine sur cette dernière. Sa présentation  séduit l’œil grâce à sa livrée bicolore des plus réalistes, mise au service de lignes et volumes bien restitués. L’avant est fidèle avec sa calandre complète surmontée d’un capot noir mat et de beaux essuie-glaces noirs. De même, le dessin des jantes est très réaliste avec en prime l’écusson Abarth en leur centre. Par contre, pas de rétroviseur extérieur gauche. De plus l’arrière dispose de feux bien colorés et d’une double sortie d’échappement chromée et creuse. L’habitacle au contenu noir a un mobilier bien gravé et propose un tableau de bord et un volant peints. Le soubassement est un peu travaillé.

 
 ABARTH 1300 Scorpione de 1968
Metro – collection italienne consacrée à ABARTH, n° 05

 Badgé Metro ce petit coupé surprend par ses dimensions réduites mais reproduit de manière assez convaincantes les lignes et volumes du vrai dans une livrée orangée. Très dépouillée, sa carrosserie ne reçoit que les écussons de la marque en plus du monogramme à l’arrière. Un seul essuie-glace à la base du pare-brise, un rétroviseur extérieur côté gauche et un volumineux bouchon de réservoir complètent le décor. Belles roues bien dessinées. Les feux arrière en plastique sont bien colorés. Double sortie d’échappement très fine. L’habitacle, ici aussi, minuscule, accueille un mobilier entièrement noir que seuls les nombreux cadrans de la planche de bord égayent un peu. Le soubassement est moulé.

 
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25 septembre 2009 5 25 /09 /septembre /2009 10:00
 
 
 

 n° 216 du 28 septembre 2009

  page 1/2

 Spéciale ABARTH

 

 Quatre modèles de la collection italienne diffusée par Hachette

 

ABARTH OT 1600/850 de 1964

Metro- collection Abarth, n° 03 
 

Réduite pour Metro, cette OT1600 reproduit de façon assez correctes les lignes, volumes et coloris de l’originale malgé une peinture épaisse et une gravure manquant de finesse.  Pourtant les principales caractéristiques de ce modèle sont bien présentent, telle sa fausse calandre à l’avant, sa large virgule rouge courant sur les flancs, le petit pli courbe sur le panneau arrière ou la double sortie d’échappement très – trop ? -  longue, voire le carter d’huile visible sous le pare-choc arrière. Mais ce qui n’a pas été oublié non plus, ce sont les gros pneus montés sur les roues arrière au carrossage en A assez réaliste. A l’avant la tringle de jumelage des essuie-glaces est présente, elle aussi. L’intérieur noir reproduit le mobilier simple avec un beau volant sport à trois branches. Le soubassement est gravé à l’arrière. 

 

ABARTH 695SS de 1969

Metro- collection Abarth, n° 04
 

Réduite pour Metro cette 695SS surprend par ses lignes semblant taillées à la serpe alors que l’originale n’est que rondeurs. Pourtant  c’est le premier modèle qui ressort plus beau en photos, peut-être à cause de cela.  Si l’allure générale de la Fiat 500 se retrouve dans ce modèle, celui-ci souffre d’un mauvais dessin des vitres latérales dont le sommet est trop bas, alors qu’il devrait être presque de niveau avec le haut du pare-brise.  Autre remarque, la taille des roues. Si d’autres réducteurs nous proposent des voitures avec des roues au diamètre démesuré, il semble bien qu’ici nous soyons en présence du phénomène inverse avec des roues bien petites.  Pourtant cette voiture présente bien dans sa décoration et l’absence de pare-chocs. Elle reçoit des feux en plastique rapportés et bien colorés. L’arrière offre une vue sur l’ensemble mécanique reproduit –sommairement -  en trois dimensions grâce à un capot maintenu en position ouvert. L’intérieur reproduit dans un joli rouge le petit mobilier qu’il contient. Volant bois et cadrans le complètent. Le soubassement est travaillé. 

 

ABARTH 850 TC Corsa de 1963

Metro- collection Abarth, n° 09 
 

Réduite pour Metro cette 850 TC séduit tout de suite par le respect des lignes, volumes et coloris de la vraie. De plus elle bénéficie d’une gravure et d’une peinture assez fines pour parachever la présentation soignée de ce modèle. A croire qu’il n’est pas l’œuvre du même réducteur que celui qui a produit la OT1600 (n° 03). Alors je vais m’attarder un peu sur elle, d’autant qu’elle me rappelle la Neckar Jagst 600 que j’ai acheté en 1968. Les différents feux sont des pièces rapportées en plastique correctement colorées et réalistes. L’avant reçoit les différents éléments  d’ornement de l’original, y compris le monogramme Fiat juste au-dessus du motif cachant l’avertisseur sonore et la petite sangle de sécurité. Notez la présence, sous le pare-chocs du second  radiateur équipant ce modèle. Le profil est réussi et accueille des roues bien proportionnées et dessinées ainsi que la décoration spécifique à ce modèle. L’arrière est proposé, capot relevé, ce qui permet d’apercevoir la reproduction – sommaire – en trois dimensions de l’ensemble mécanique. Le capot reçoit le monogramme du modèle en plus de la plaque d’immatriculation et de son éclairage chromé. Le pavillon comporte bien le rectangle légèrement rehaussé – vestige de la version décapotable. L’intérieur reçoit un mobilier noir bien travaillé. Ce sont la planche de bord, très sobre mais où les monogrammes sont peints au côté des cadrans et le volant sport qui le rehaussent un peu.  Le soubassement est bien travaillé. 

 

ABARTH OT 2000 de 1966

Metro- collection Abarth, n° 12

Réduit pour Metro, ce coupé OT2000 reproduit de bonne manière les lignes, volumes, coloris et gimmick du vrai. L’ensemble est plaisant avec sa bouche tirant la langue… Pardon, il s’agit de l’imposante roue de secours qui déborde de la carrosserie. Particularité de ce modèle. Les différents feux sont des pièces en plastiques bien colorées, notamment les feux arrière qui sont bien bicolores.  Les sorties d’air sur le capot avant manquent de creux.  Les roues sont de très bonne facture, bien dessinées et surtout de tailles différentes, celles de l’arrière étant de plus grand diamètre, avec des pneumatiques plus larges et un carrossage en A. L’arrière n’est pas ouvert. Belle double sortie d’échappement. Le carter est orné du monogramme Abarth peint en rouge. L’intérieur reçoit un mobilier noir que seule la planche de bord en imitation faux bois tente de rehausser alors que le volant sport est placé trop bas. Le soubassement est gravé.

 
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16 septembre 2009 3 16 /09 /septembre /2009 08:43
 

n° 215 du 21 septembre 2009 - page 2/2

spéciale collections italiennes

LANCIA Delta HF Integrale, Evolution de 1991

Norev – collection Lancia, n° 03

Réduite pour Norev cette Integrale Evolution surprend par sa grande largeur. Pourtant, après vérification, celle-ci n’est pas exagérée et correspond bien à la grande largeur de la vraie due aux généreux élargisseurs d’ailes qu’elle possède. Donc lignes et volumes bien rendus mais desservis par une peinture jaune trop épaisse qui cache certains détails, notamment sur le capot moteur. Pourtant la calandre est bien gravée et toute la partie frontale est bien reproduite. Le profil, aux lignes droites est  bon et reçoit des roues aux jantes fidèles. L’arrière ne reçoit que des feux entièrement rouges et les logo et monogramme du modèle. L’habitacle est noir mais contient un mobilier bien gravé dont deux jolis sièges baquets à l’avant. Le soubassement est gravé.

 

LANCIA Beta Monte-Carlo de 1974

Norev – collection Lancia, n° 04
 

Réduite par Norev ce coupé Monte-Carlo reproduit de manière assez pataude les lignes et volumes pourtant simples de ce modèle, notamment en raison d’arrêtes de panneaux de custode trop pentue, d’une garde au sol trop généreuse en raison de la taille des pneus. De plus, la peinture rouge trop épaisse nuit à la perception des détails de la gravure alors que le bouclier avant est correctement reproduit avec sa calandre intégrée et les optiques. Les roues sont bien dessinées alors que le vitrage laisse des jours au niveau de la ligne de caisse. L’arrière est fort plaisant à regarder avec son panneau noir, l’immatriculation colorée, des feux réalistes et une sortie d’échappement creuse chromée. Les deux places sont reproduites dans un mobilier noir. Le soubassement  est gravé.

 

LANCIA Flavia coupé de 1961

Norev – collection Lancia, n° 05

Censé être réduit par Norev, ce coupé n’est autre qu’une reprise du moule ayant servi à celui distribué par Edison Giocattoli (E.G. réf. 802121) et badgé  Grani & Partners SPA avec quelques petits détails différents. Nous retrouvons donc sans difficulté les lignes et volumes de ce modèle baroque, surtout dans sa partie avant, dans une belle livrée gris métallisé. Le fait de l’avoir doté de pièces rapportées pour les optiques additionnelles en réduit le diamètre par rapport à celui d’E.G. Les roues sont correctes et la livrée argentée amincie la voiture ? Si l’arrière est doté es monogrammes  les jolis feux rapportés en plastique coloré de la E.G. ont été remplacés par ces désespérant feux métalliques mal colorés. Heureusement, le mobilier intérieur est toujours caramel, donnant l’illusion du cuir pour un mobilier bien gravé. Dommage que ce modèle n’ait pas conservé les cadrans du tableau de bord, visible sur celui d’E.G. mais il a gagné un haut de contreporte noir. Le soubassement est le même, donc un peu détaillé. 

 
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9 septembre 2009 3 09 /09 /septembre /2009 09:36
 

n° 214 du 14 septembre 2009 - page 2/2

spéciale collections italiennes

 

Comme annoncé dans le numéro de la semaine dernière, je vais profiter du ralentissement des sorties presse françaises pour vous présenter pendant quelques numéros des modèles issus de collections presse italiennes publiées par HACHETTE fasciculo.

 Et pour commencer, voici les trois premiers modèles de la collection LANCIA proposée par HACHETTE en partenariat avec Norev et composée de 70 numéros.


Vous trouverez ensuite  trois autres Lancia dans le n° 215, puis nous passerons à la collection ABARTH, toujours proposée par HACHETTE mais en partenariat avec Metro à partir du n° 216.

 

LANCIA Aprilia de 1937

Norev – collection Lancia, n° 1

Réduite par Norev, cette Aprilia, reproduit assez bien les lignes et volumes particuliers de ce modèle sous une livrée bleu nuit qui laisse voir la gravure des détails. A l’avant l’immense calandre manque de finesse dans sa gravure alors que le pare-brise reçoit deux essuie-glaces rapportés. Le profil à dos rond est bien reproduit et reçoit des poignées de portières chromées et rapportées. Les jantes sont celles du modèle de base avec des enjoliveurs centraux non frappés du nom Lancia. Les boitiers des flèches de direction sont bien signalés sur les panneaux de custode. L’arrière étroit est bien doté des deux petites lunettes arrières et l’immatriculation surmonté de son système d’éclairage et du feu rouge. Lequel est doublé sur l’aile gauche. L’habitacle reçoit un mobilier gris avec conduite à droite. Le soubassement est gravé. 

 

LANCIA Fulvia coupé 1.3 S de 1965

Norev – collection Lancia, n° 2-A
 

Réduit par Norev ce coupé Fulvia nous reproduit les lignes et volumes de l’original sans enthousiasme tant sa finition paraît légère. L’essentiel est heureusement présent avec, à l’avant une calandre bien dessinée et encadrée par quatre optiques au diamètre correct. Elle est souligné par un pare-chocs légèrement cintré pour suivre le la base en V du jonc chromé qui l’entoure. Les clignotants ne sont qu’oranges. Il manque la zone blanche sur leur avant. Les essuie-glaces sont des pièces rapportées chromées comme les poignées de portière et le rétroviseur extérieur. Les autres chromes ne sont que peints. Les roues sont dotées de jantes blanches ajourées. L’arrière reçoit les différents monogrammes et des feux uniquement rouges. L’intérieur, entièrement noir, présente cependant un mobilier bien dessiné. Le soubassement n’est pas détaillé. 

 

LANCIA Nuova Fulvia coupé de 2003

Norev – collection Lancia, n° 2-B

 

Réduit par norev, le concept-car de 2003 n’est autre qu’une reprise du modèle proposé en son temps sous la référence UV1 7830 01sous une présentation à la finition simplifiée. Les lignes, volumes et coloris nacré sont cependant conformes. L’avant est dépourvu d’immatriculation alors que le profil ne laisse plus deviner les disques de frein. Essuie-glaces et poignées de portières sont tout de même des pièces rapportées. A l’avant la calandre est bien gravée alors qu’à l’arrière les feux, travaillés, ne sont que rouge. Logo et monogramme sont à leurs places. Le vitrage fumé laisse deviner un intérieur entièrement noir avec ses deux sièges. Le soubassement est gravé au niveau des deux trains roulants. 

 
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4 mars 2009 3 04 /03 /mars /2009 09:00

 n° 187

du 09 mars 2009

page 2

   

 SPECIAL                   

 collections italiennes

FIAT Nuova Balilla 1100 de 1938

Norev – collection italienne Fiat, story collection, test n° 1
 

Réduite par Norev cette Fiat Balilla 1100 pourrait tromper facilement un amateur non éclairé qui la confondrait très aisément avec une Simca 8. Et pour cause, cette dernière n’en est que le clone français. Lignes, volumes et coloris sont très reproduits et bénéficient d’une gravure nette et profonde. L’avant reçoit une belle calandre arborant l’écusson Fiat en son sommet et le trou pour la manivelle à sa base. Les optiques sont convergentes et les essuie-glaces implantés au-dessus du pare-brise. Le profil met bien en évidence les portières à ouverture antagoniste sans pied milieu. Les roues sont ajourées et dépourvues d’enjoliveurs. De plus elles sont réalistes car

 très étroites. L’arrière est des plus simplifiés et ne reçoit que le cache roue de secours non formé, le bouchon de réservoir et la plaque d’immatriculation sur l’aile gauche. Dommage que ni le feu rouge, ni le catadioptre ne soient peints. A noter les nervures des pare-chocs. L’absence d’enjoliveur et la présence d’une excroissance à l’arrière droit censée représentée un feu arrière laissent supposer la reproduction d’un modèle actualisé. L’intérieur marron laisse découvrir le mobilier simple de l’époque et le volant à trois branches. La planche de bord est gravée, tout comme le soubassement. La miniature roule bien.

 
   

FIAT Nuova Balilla 1100 de 1939

Norev – collection italienne Fiat, story collection, n° 1
 

Réduite par Norev cette Fiat Balilla 1100 pourrait tromper facilement un amateur non éclairé qui la confondrait très aisément avec une Simca 8. Et pour cause, cette dernière n’en est que le clone français. Lignes, volumes et coloris sont très reproduits et bénéficient d’une gravure nette et profonde. L’avant reçoit une belle calandre arborant l’écusson Fiat en son sommet et le trou pour la manivelle à sa base. Les optiques sont convergentes et les essuie-glaces implantés au-dessus du pare-brise. Le profil met bien en évidence les portières à ouverture antagoniste sans pied milieu. Les roues sont

 simples mais réalistes car très étroites. L’arrière est des plus simplifiés et ne reçoit que le cache roue de secours, le bouchon de réservoir et la plaque d’immatriculation sur l’aile gauche. Dommage que ni le feu rouge, ni le catadioptre ne soient peints. L’intérieur marron laisse découvrir le mobilier simple de l’époque et le volant à trois branches. La planche de bord est gravée, tout comme le soubassement. La miniature roule bien.

 
   

FIAT 1600 S cabriolet de 1962

Norev – collection Fiat story, n° 23
 

Réduit par Norev, ce cabriolet 1600 S est une réussite, même si sa finition est du niveau presse. C'est-à-dire inférieure à la finition boutique du cabriolet 1500 proposé par ce même réducteur. Lignes, volumes et coloris sont à l’unisson de la gravure et des éléments rapportés chromés ou en plastique, pour nous proposer un modèle très réussi. L’avant bénéficie d’une calandre très réaliste et dotée des quatre optiques qui caractérisent ce modèle. Le profil accueille des roues aux flasques dépourvues du logo central Fiat alors que celui du

 carrossier Pinin Farina n’a pas été oublié sur les ailes avant. L’arrière arbore des feux métalliques uniquement rouges, poignée de coffre seulement peinte et monogramme. L’habitacle au mobilier noir met en évidence la planche de bord en faux bois et le volant Nardi. Et ce qui accentue l’attrait de ce cabriolet, c’est de nous le proposer en version couvert qui permet de découvrir les rabats latéraux de la capote destinés à coiffer les vitres. Le soubassement est bien détaillé et la miniature roule bien.

 
   

FIAT 2300 de 1963

Norev – collection Auto italiane da collezione, n° 20

 

Réduite par Norev cette 2300 bénéficiant d’un certain respect des lignes et volumes de l’originale, souffre d’une finition des plus légères, à laquelle nous ont habitués Hachette et Norev pour leurs collections françaises, et que nous retrouvons maintenant sur les collections diffusées en Italie. Toujours est-il que si la calandre est très réaliste, il n’en va pas de même des essuie-glaces juste gravés sur le pare-brise. Les répétiteurs de clignotants demandent une

touche de couleur pour les faire ressortir. A l’arrière, seuls les monogrammes Fiat et 2300 sont apparents. Il vous faudra sortir le pinceau pour le motif de serrure et la plaque d’immatriculation. Les feux sont entièrement rouges. L’habitacle, tout en noir, ne dispose pas de rétroviseur fixé au pavillon. Le soubassement est lisse et la miniature roule bien.
 

 
   

SIMCA ABARTH 2000 GT de 1963

Norev – collection italienne Abarth collection, n° 15
 

Réduite pour le compte de Metro Promo cette 2000 GT peut rejoindre facilement ses cadettes 1300 proposées par Ixo ou Spark tant ses lignes, volumes, coloris et finition nous restituent pleinement l’original. Toutefois à l’avant, les clignotants sont mal représentés alors que les fixations de sécurité à la base du pare-brise sont dessinées, les monogrammes sont absents à l’extrémité du capot. Sur cette version les essuie-glaces étaient parallèles et reliés par une fine tige métallique. Le profil est réussi et présente de jolies roues aux jantes bien travaillées. Le logo Abarth est bien placé de chaque côté alors qu’il n’existe qu’une prise d’air sur le panneau de

 custode droit. Or il a existé des modèles avec prise d’air aussi sur le panneau gauche.  Mais c’est l’arrière qui mérite que l’on s’attarde dessus car il diffère des rondeurs de la 1300. Ici le capot ne joint pas et laisse découvrir une partie de la mécanique au-dessus de jolis feux bien colorés et une sortie d’échappement très généreuse. A noter que la lunette arrière est dotée du bouchon du réservoir d’essence. A bien regarder à l’intérieur on voit la goulotte traverser l’habitacle pour rejoindre celui-ci. L’habitacle, noir, accueille deux petits sièges et un volant à trois branches métalliques. Le soubassement est gravé et la miniature roule bien.

 
   
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