n° 282 du 03 janvier 2011 |
Toujours sans nouvelle de mes dernières australiennes, bloquées quelque part .Le contenu de ce premier numéro de 2011est composé de bric et de broc. J’ai bien peur qu’il ne soit l’amorce de la configuration des numéros à venir car il semble bien qu’aucun lancement d’une nouvelle collection automobile de presse ne soit à attendre de la part du tandem Ixo/Altaya au cours de ce premier trimestre. Nous devrions attendre la rentrée de septembre pour cela, d’après notre informatrice adorée, dame Patricia. Et comme il semble qu'il en soit de même du côté de chez Hachette, il nous faut espérer que cette "traversée du désert" ne soit pas fatale à notre passion de la belle miniature. Pour nous faire patienter,nous aurons eu droit, entre temps, au test évoqué la semaine dernière. |
30-12-2010 Dame Patricia vient d'annoncer sur FA qu'il pourrait y avoir le lancement d'un test dès la semaine prochaine. Sans en divulguer la teneur. J'en parlerais ici si je trouve un lecteur qui accepte de me faire parvenir les numéros aux conditions habituelles. Je l'en remercie par avance. |
Modèles presse |
SOMUA LRS JL 19 de 1957 Ixo/Altaya – collection Camions d’autrefois, n° 30 |
Signé Ixo, ce camion Citerne JL19 nous propose un beau mélange de reprise (la citerne déjà vue sous les couleurs du pétrolier italien AGIP) et d’inédit avec la cabine tout en rondeurs du Somua. Cabine fort réussie dans le rendu de ses volumes avec son imposante calandre jaune, arborant l’écusson de la marque en son centre. Si le pare-chocs avant est doté d’une attache, il n’affiche pas la plaque bleue affichant Seine & Oise. Cette cabine est dotée de toute la signalisation lumineuse de la vraie, correctement colorée. L’intérieur de la cabine comprend la banquette double pour les passagers et le siège conducteur. Les contreportes sont détaillées, tout comme les cadrans du tableau de bord. Les jantes des roues avant sont fidèles aux vraies. La citerne est la même que celle équipant le Fiat 643-690 (n°10 de cette même collection, cf. CH43 n° 237 du 22 février 2010) et sur laquelle je ne m’étendrai pas. Par contre deux détails m’interpellent. Le premier concerne les vannes côtés gauche placées tête en bas par rapport à celles du Fiat. Qu’elle est la bonne position ? Le second, c’est l’absence de sortie d’échappement à l’avant du camion. Ce qui était la cas sur le Fiat. Cette disposition était-elle non obligatoire en 1958 ? Pour le reste, le châssis est classique. |
VOLKSWAGEN Coccinelle 1600i « Ultime édition » de 2000 Ixo/Hachette/AutoPlus – collection Classiques de l’automobile, n° 24 |
Signée Ixo, cette évocation de la dernière série de la fameuse Coccinelle, n’est qu’une énième utilisation du moule déjà utilisé, notamment dans la collection des taxis du monde sous les n° 03 (Mexico), 29 (Rio de Janeiro) et 53 (Lima). Pourtant, aujourd’hui, cette Coccinelle tranche par rapport aux autres par une très belle livrée ivoire et une présentation soignée. Alors que le pare-chocs avec reçoit bien les clignotants orange et sa bande noire, le capot s’orne de l’écusson et du blason de la marque ainsi que d’un jonc chromé qui les relie. Les marchepieds reçoivent aussi un jonc chromé latéral. A l’arrière, le pare-chocs reçoit lui aussi une bande centrale noire. Le capot moteur affiche ses ouïes d’aération, tout comme la base de la lunette arrière. Mais ce qui fait le charme de ce modèle, ce sont les feux arrière tricolores au dessin et aux coloris fidèles. Ce qui n’est pas le cas des jantes – de la première génération - qui ne comporte pas d’alvéoles sur leur pourtour. Quelle erreur, d’autant que les taxis évoqués plus haut en avaient ! Par contre, les pneus qui avaient des flancs blancs, ont été remplacés par des pneus entièrement noirs pour les besoins des photos. Le mobilier est entièrement noir. On devine des sièges avant avec appuie-tête. Le soubassement est détaillé. |
Presse italienne |
FIAT-ABARTH 500D Universal Hobbies/Hachette – collection italienne 500 story, n° 26 |
Signée Universal hobbies, cette petite 500D appartenant à la Squadra Massimo est assez représentative de l’usage de cette voiture pour se confronter aux autres. Dépourvue de pare-chocs et d’enjoliveurs de roues, elle nous restitue correctement les lignes et volumes de la célèbre Fiat, dans cette livrée vert foncé. La présentation est au standard de cette collection avec son toit ouvrant en toile et son petit mobilier intérieur bien dessiné. L’avant arbore l’écusson Abarth qui cache l’avertisseur sonore. Belles roues jaunes de première génération. Le soubassement est très sulpté, surtout à l’arrière. |
Modèles boutiques - spécial cadeaux de Noël |
ASTON-MARTIN Rapide de 2009 Minichamps Evolution (résine) – réf. 64028 |
Signée Minichamps, cette Aston-Martin Rapide nous est proposée en résine. Cette 4 places, 4 portes, est très bien restituée dans cette livrée bleu métallisé au grain très fin. Ses lignes et volumes sont très réalistes et bénéficient d’une gravure et d’une finition de bons niveaux. Nombre de chromes sont photodécoupés, comme la grille de calandre ou l’entourage des vitres latérales. Les optiques avant et les feux arrière sont bien dessinés mais ne sont que blancs, LED obligent. Les essuie-glaces sont bien présents, gravés sur la plage à la base du pare-brise. Les écussons de la marque (sur le capot moteur et le hayon arrière) ainsi que le monogramme Rapide sont eux aussi photodécoupés. Les belles jantes ont un dessin fidèle et laissent voir des disques de frein aux étriers marqués Aston-Martin. L’habitacle est, lui aussi, très bien détaillé avec un mobilier bicolore bien sculpté où l’on trouve même le dessin des ceintures de sécurité. Planche de bord et console centrale présentent moult détails alors que le volant me parait implanté trop bas. Un ciel de pavillon court du pare-brise à la lunette arrière. Le coffre est semi recouvert par le cache-bagages qui ne dissimule pas deux petites valises placées tout à l’arrière. Le soubassement est également très détaillé avec reproduction des deux lignes d’échappement et des plaques de protection. Dommage que son prix soit si élevé ! Royalties obligent semble-t-il … |
BUICK Century Caballero de 1957 NEO – réf. NEO 44065 |
Signé Néo ce break Century fait partie des modèles Us auxquels je ne peux résister très longtemps, faisant partie de ma décade préférée 1955-1964 question style de carrosseries. Une fois encore, ce réducteur nous propose un très beau modèle aux lignes, volumes et coloris très bien restitués. De plus la gravure est très fine et les différents éléments rapportés sont le plus souvent photodécoupés. Outre de très fins essuie-glaces, l’avant se pare du motif de capot, du monogramme Buick et d’un imposant élément très travaillé reproduisant la très large calandre, ornée du blason de la marque, au-dessus du pare-chocs bouclier accueillant des optiques supplémentaires. Les roues sont équipées de rayons très fins. Les ailes avant sont équipées des quatre ouïes d’aération latérales. Un phare orientable est placé sur l’aile avant gauche. Les poignées de portière sont rapportées. A l’arrière, outre l’ultra fine poignée du hayon, à la base de la lunette arrière et du motif décorant l’abattant, c’est toute la partie chromée, constituée par le pare-chocs et les extrémités des ailes arrière très tourmentée qui retiendra l’attention, avec ses profonds feux rouges. A l’intérieur, la gravure du mobilier met en valeur les deux larges banquettes et le plancher du coffre. Un ciel de pavillon complète cet aménagement. Belle planche de bord. Le soubassement est lisse. |